L’option théâtre du lycée L’Oiselet sur scène au théâtre Jean Vilar
Le jeudi 2 juin, les 30 élèves de l’option théâtre se sont produits sur scène presque dans les mêmes conditions que les professionnels grâce à l’accueil chaleureux du personnel du théâtre Jean Vilar et grâce à la prise en charge professionnelle des techniciens qui les ont accompagnés.
Les jeunes apprentis comédiens ont proposé deux représentations de leur spectacle, une première fois à 14h30 devant six classes du lycée L’Oiselet, ainsi que des professeurs venus les soutenir, une deuxième fois devant un public plus large et plus varié à 18h30.
Le spectacle s'est présenté sous la forme de 2 pièces : la première, intitulée "Mais qui a fondé Paris ?", est une adaptation d'un texte de Boris Vian, Fluctuat nec mergitur. Des touristes de diverses nationalités visitent Paris et chacun réécrit l'histoire de la fondation de la ville à sa façon : les Russes, les Allemands, les Américains, les Corses... Chaque sketch est l'occasion d'interroger les clichés véhiculés autour de ces peuples dans l'imaginaire français, en lien avec les événements historiques du XXème siècle (seconde guerre mondiale, guerre froide, revendications autonomistes...). Les élèves ont choisi à la fois les sketchs et les personnages qu'ils voulaient incarner, travaillé les accents et les postures tout en mettant au point une scénographie et une mise en scène de tonalité burlesque.
La seconde, intitulée "La nuit où le jour s'est levé" de Catherine Verlaguet, Magali Mougel et Sylvain Levey, retrace les pérégrinations d'une jeune française de 23 ans qui décide de partir à l'aventure au Brésil grâce à l'héritage de sa grand-mère et découvre par hasard le sentiment maternel en assistant à la naissance d'un enfant nommé Tiago. La jeune fille et l'enfant rentrent clandestinement en France. La pièce interroge le sentiment maternel et la question de la filiation à travers les multiples péripéties de l’héroïne : un accouchement improvisé dans un couvent, un jeu de cache-cache avec l’administration brésilienne, avant un retour clandestin en France. Les élèves ont été dirigés par la comédienne Claire Galopin, de la Compagnie « La bande à Mandrin » aussi bien pour le choix du texte et la distribution, que pour la mise en scène et le jeu.
Le public a applaudi avec enthousiasme les jeunes apprentis comédiens et a participé avec beaucoup d’humour au « Bord de scène » improvisé à la fin du spectacle.
Les jeunes apprentis comédiens ont proposé deux représentations de leur spectacle, une première fois à 14h30 devant six classes du lycée L’Oiselet, ainsi que des professeurs venus les soutenir, une deuxième fois devant un public plus large et plus varié à 18h30.
Le spectacle s'est présenté sous la forme de 2 pièces : la première, intitulée "Mais qui a fondé Paris ?", est une adaptation d'un texte de Boris Vian, Fluctuat nec mergitur. Des touristes de diverses nationalités visitent Paris et chacun réécrit l'histoire de la fondation de la ville à sa façon : les Russes, les Allemands, les Américains, les Corses... Chaque sketch est l'occasion d'interroger les clichés véhiculés autour de ces peuples dans l'imaginaire français, en lien avec les événements historiques du XXème siècle (seconde guerre mondiale, guerre froide, revendications autonomistes...). Les élèves ont choisi à la fois les sketchs et les personnages qu'ils voulaient incarner, travaillé les accents et les postures tout en mettant au point une scénographie et une mise en scène de tonalité burlesque.
La seconde, intitulée "La nuit où le jour s'est levé" de Catherine Verlaguet, Magali Mougel et Sylvain Levey, retrace les pérégrinations d'une jeune française de 23 ans qui décide de partir à l'aventure au Brésil grâce à l'héritage de sa grand-mère et découvre par hasard le sentiment maternel en assistant à la naissance d'un enfant nommé Tiago. La jeune fille et l'enfant rentrent clandestinement en France. La pièce interroge le sentiment maternel et la question de la filiation à travers les multiples péripéties de l’héroïne : un accouchement improvisé dans un couvent, un jeu de cache-cache avec l’administration brésilienne, avant un retour clandestin en France. Les élèves ont été dirigés par la comédienne Claire Galopin, de la Compagnie « La bande à Mandrin » aussi bien pour le choix du texte et la distribution, que pour la mise en scène et le jeu.
Le public a applaudi avec enthousiasme les jeunes apprentis comédiens et a participé avec beaucoup d’humour au « Bord de scène » improvisé à la fin du spectacle.
Les professeurs de l’option théâtre : Colette Badel et Estelle Ziercher